Le théâtre c'est la poésie qui sort des livres pour descendre dans la rue.
La Baraque a fondu(e), nouvel univers, nouvelle destinée artistique. Celle de conter des histoires à l'oreille des enfants, adressées aux parents. Des histoires venues de pays, lointains ou proches, inventées ou récoltées, adaptées de la littérature européenne, africaine et amérindienne pour regarder et entendre autrement, par l'autre bout de la lorgnette. Des contes dans ce qu'ils ont d'universel et de philosophique, et qui s'attachent au destin de l'homme face à lui-même.
Les enfants ont des mondes que leurs parents ignorent et les parents ont des enfants qui ignorent leurs raisons.
C'est donc avec joie et délice que j'ai rejoint cette création jeune public de Jacot Martin, cette bulle poétique dans l'espace public où je vais communiquer avec les passériformes, les psittacidés, les trochilidés ou tout autre oiseau... 😉 mais pas que !
À l'issue de plusieurs semaines de résidence artistique, je ne cache pas mon plaisir de parcourir, dès le mois de mai prochain, les routes de France et d'Helvétie où une bien jolie tournée du spectacle se dessine : de la Manche à la Loire, en passant par les cantons de Neuchâtel et de Fribourg... “la poésie est le plus court chemin d'une sensibilité à une autre.”
La Baraque a fondu(e)
texte Jacot Martin
mise en scène Nikola Martin
arrangement chansons Benjamin Chabert
Production :
Coproductions et soutiens :
(Granville), Espace Culturel La Ferme Dupuich (Mazingarde),
(Grigny), (Saint-Ouen
l'Aumône), La Beaume (Éclose), Cie Une Peau Rouge (Montreuil),
(Le Grand-Bornand), Ville de
Beauvais, Ville de Limay, Ville de Saint-Germain-en-Laye
illustration de l'affiche : Léa Tirmant-Desoyen ©
L'Enfant Soldat · instrumental · "La Baraque a fondu(e)" by Marthe Drouin
Instrumental de L'ENFANT SOLDAT, extrait du spectacle "La Baraque a fondu(e)" contes philosophiques, compositeur Jacot Martin, arrangeur Benjamin Chabert
“(...) Nous naviguons de longs jours... puis un matin gris, alors que désespérés nous ne pouvions plus ni avancer ni reculer, perdus noyés dans la brume, là au dessus de nos têtes une nef majesteuse survolait l'océan (...)”
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